Vous avez sans doute vu ce western ou son remake, mais seul l'original comprend cette réplique finale qui a touché plus d'un spectateur.
Découvrez ou redécouvrez la fin des Sept mercenaires et notamment sa dernière réplique, émouvante à souhait, qui vient conclure un western de pure action avec une petite touche sentimentale et même philosophique, eh oui !
Les Sept mercenaires
Sortie :
1 février 1961
|
2h 08min
De
John Sturges
Avec
Yul Brynner,
Eli Wallach,
Horst Buchholz
Presse
5,0
Spectateurs
4,2
Voir sur Prime Video
Cette réplique déchirante nous est livrée par Chris (Yul Brynner), qui confie à son camarade Vin (Vic en VF), joué par Steve McQueen :
Cette réflexion philosophique de Chris est suivie de l’image de trois enfants mexicains venant fleurir la tombe de Bernardo, l’un des “7”, tombé au champ d’honneur pour avoir voulu protéger le village et les enfants qui s’y trouvent. Sous le regard du “vieux” fermier (Vladimir Sokoloff), Chris et Vin repartent seuls, vers le lointain.
Avant d’aller découvrir pourquoi Steve McQueen a dû emboutir sa voiture pour tourner le film, revoyez cette incroyable scène :
Et effectivement, en plus d’être un très bon film d’action de John Sturges, Les 7 mercenaires a justement comme propos de réfléchir à la condition même de ces pistoleros se louant au plus offrant, à leur possibilité d’accéder un jour à une vie personnelle éloignée des fusillades à répétition.
Or, le constat du film, remake des Sept samouraïs) est sans équivoque : 4 des mercenaires sont morts : l’un était déjà traumatisé par cette vie de danger permanent (Robert Vaughn), un autre était cupide (Brad Dexter), un autre avait un instinct paternel qu’il n’aura jamais pu développer (Charles Bronson) et le dernier y voyait là un travail facile lui permettant de ne rien faire le reste du temps (James Coburn).
Seul Chico (Horst Buchholz) va rester comme fermier et fonder une famille. Il a gagné. Chris et Vin (Brynner et McQueen) repartent à leur solitude vers le soleil couchant en attendant la prochaine ville, le prochain défi… et la balle qui aura leur peau.
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